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Photo du rédacteurLes Psychopathes du Polar

ITW Laurent PHILIPPARIE


Bonjour Laurent,

Déjà un grand merci à toi d’avoir accepté de répondre à mes questions.

On va se la faire simple, d’habitude c’est toi qui pose les questions mais là on change de musique !

Tu as le droit de garder le silence mais ce n’est pas bon pour ton matricule en même temps ! Ceci dit tu as droit à un avocat mais je te déconseille Maître ABEL, c’est une psychopathe !


- Tout d’abord, peux-tu nous parler un peu de toi ?

Oui avec Maître Abel, ça finit souvent dans un bain de sang… Capitaine de police depuis dix-huit ans j’adore les thrillers. Et après avoir longtemps conseillé d’autres auteurs, j’ai eu envie de me mettre moi aussi à l’écriture.


- Comment tu as commencé à écrire ? quel a été l’élément déclencheur ?

Lorsque j’ai quitté Paris pour la province, j’ai imaginé une histoire qui rendait hommage à mes collègues parisiens, et plus généralement aux réalités policières, trop souvent ignorées en littérature au profit des vieux clichés.


- Un livre que tu aurais aimé écrire ?

« Le Serment des Limbes » (J-C Grange)


- Où écris-tu et quand ?

J’écris « à l’arrache », lorsque mon quotidien le permet (lors de mes pause-repas ou tard dans la nuit…) La moindre demi-heure à perdre est précieuse. Je ne me sépare jamais d’une besace qui contient de quoi travailler n’importe où… Pour le prochain, je traine souvent dans un cabaret…


- La musique t’accompagne-t-elle lorsque tu écris ? Si oui, quel genre ?

Toujours, elle m’aide à me replonger instantanément dans un univers. Je privilégie les musiques de film ou de série. Le Lectio Letalis a été essentiellement écrit sur la musique de « Game of Thrones » ou « Run Boy run » de Woodkid.


- En mai 2016 est sorti ton premier livre « NE REGARDE PAS L’OMBRE », peux-tu nous parler de cette première aventure ?

Un premier livre est toujours un état de grâce intime : la matérialisation de l’objet, l’intérêt des lecteurs, les salons, et les belles rencontres… (dont toi Marie Noelle.) Maintenant ce fut également pour moi la découverte du monde du livre, avec ses bons et ses mauvais côtés. Cette expérience m’a aidé à faire de meilleurs choix et à ouvrir mes ambitions.




 





- A l’occasion du dernier salon de Fargues Saint Hilaire, tu m’avais confié ton manuscrit « LECTIO LETALIS » que j’ai lu dans la foulée...... Tu veux bien nous en parler un peu ou beaucoup, c’est comme tu veux ?

Si le lecteur prend autant de plaisir à lire ce livre que j’en ai pris à l’écrire, alors mon objectif sera atteint…

« Tout juste engagé par les éditions Paul Gerber, Alexandre se tranche les veines en lisant un manuscrit que lui a confié l’éditeur. En un moi, c’est le troisième suicide recensé par cette maison, et toujours en lisant cet introuvable manuscrit.

En Gironde, le lieutenant Gabriel Barrias, pourchasse Anna Jeanson, suspectée du meurtre de son psychiatre. Survivante d’un suicide collectif survenu dix ans auparavant, elle serait peut-être l’auteur du manuscrit aux suicides.

Cette enquête va confronter Barrias au pire attentat terroriste jamais imaginé. Un projet vieux de deux siècles… »

Voilà, je ne t’en dis pas plus.



- Une suite est prévue ?

Non. En principe dans le prochain aucun rapport avec celui-ci.


- Un coup de cœur, un coup de gueule Laurent ?

En ce moment, je suis trop heureux pour pousser un coup de gueule… Alors plutôt un coup de cœur pour Barbara Abel. Le soutien et les conseils de cet auteur ont été déterminants dans l’écriture du Lectio Letalis. C’est sans doute à cela que l’on reconnait les grands, ils ne font pas que des livres, ils font aussi des auteurs.


Je pense avoir fait le tour de la question, tu peux reprendre tes activités, tu es libre.

Merci d’avoir dégagé de ton temps pour répondre à mes questions. Nous te souhaitons une belle et grande aventure et beaucoup de succès avec LECTIO LETALIS, qui va faire un tabac.

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