La phrase de l’auteur :
Quand la pensée se cogne à un mystère, le regard cherche à s’évader.
Mon point de vue :
Mais quel beau voyage nous offre Samuel Delage au sein de la Villa Médicis. Je me suis promenée dans les jardins, dans la Villa, dans les ateliers.... Il y a aussi les odeurs très présentes qui viennent nous chatouiller les narines. Bref un havre de paix magique mais pas que.....Ce décor somptueux est le théâtre d’un premier crime, une enquête qui a de la peine à avancer tellement les personnages sont mystérieux avec des passés tout aussi mystérieux, il me reste à vous dire que les objets qui ont eux aussi une sacré place dans l’histoire, un vrai CLUEDO comme l’a déjà fait remarqué Pépita Sonatine. Un huis clos haletant dès les premières pages jusqu’aux dernières. Une belle réussite.4ème de Couv.Alors que la quiétude règne sur la villa Médicis, un cadavre est découvert un matin dans l’une des fontaines des jardins. Ce drame bouleverse les artistes pensionnaires et le personnel, d’autant que la victime est le fils du directeur de ce lieu incontournable de l’art et de la culture. Dépêché sur place, le commissaire Castelli conclut rapidement à un homicide et ne tarde pas à découvrir que la victime entretenait des liens ambigus avec les résidents. Dans ce huis-clos où chacun est un suspect potentiel, un jeu psychologique s’instaure avec le tueur qui, traqué et menacé, se révèle retors et particulièrement manipulateur. Les tensions montent. Le directeur ne peut se permettre de perturber le bon fonctionnement de l’institution et fait venir de Paris l’expert en art Yvan Sauvage qu’il charge de finaliser l’organisation d’une exposition dont le vernissage est imminent. Ce dernier retrouve à la villa Marion Evans, l’une de ses anciennes élèves, qui y effectue des recherches historiques. Un bras de fer s’engage alors avec le commissaire. Marion Evans se trouve en effet impliquée dans cette affaire bien au-delà de ce qu’elle-même imagine...
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